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C'est pas mon idée !

jeudi 29 septembre 2011

Capital One s'installe dans les jeux sociaux de Zynga

Chèvre Capital One
Après la vague sans lendemain des expérimentations plus ou moins ludiques des banques dans le monde virtuel SecondLife, la mode actuelle des jeux sociaux donne de nouvelles idées à certaines d'entre elles. L'une de ces pionnières est Capital One, qui a signé un partenariat avec Zynga, le leader des jeux sur Facebook, pour s'installer dans 3 de ses titres parmi les plus populaires.

Dans Cityville, dont l'objectif consiste à construire une ville virtuelle (avec ses amis), la banque propose ainsi aux joueurs de construire une agence à ses couleurs, une action qui est assortie de multiples avantages (dans la logique du jeu). Dans Farmville (gestion d'une ferme virtuelle) et The Pioneer Trail (développement d'une colonie de pionniers), c'est la mascotte de Capital One (la chèvre ci-dessus) qui sert de fil conducteur à sa présence et qui est là aussi accompagnée de quelques "bonus" appréciables.

La banque n'en est pas à son coup d'essai, avec une première opération précédemment réalisée dans Farmville, et le renouvellement (en "plus grand") de cette initiative semble démontrer qu'elle en a retiré des bénéfices mesurables. L'un de ceux-ci est peut-être son succès phénoménal sur Facebook, où elle compte désormais plus de 2,3 millions de fans. La visibilité de la marque en profite donc largement et si une petite partie de cette population est convertie en clients, le résultat peut rapidement devenir très positif.

Comme je l'évoquais récemment, capter l'attention des consommateurs sur les médias sociaux est un exercice difficile dont la valeur pour les entreprises tend à se concrétiser. Exploiter les jeux, immergés dans l'expérience "sociale" de Facebook et extrêmement populaires (Zynga se vante d'avoir 230 millions d'utilisateurs sur ses différentes plates-formes), est donc une stratégie intelligente pour développer une base de fans, puis la notoriété (positive, grâce à l'aspect "sympathique" de la démarche et de sa réalisation) et enfin, idéalement, les revenus de la banque.

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